Variations autour de Postfix (part.1 ) : serveurs virtuels et bases de données

Postfix permet de gérer des serveurs de messagerie virtuels, c’est à dire qu’un seul serveur physique permet d’agir en tant que MTA (Mail Transfert Agent) pour des domaines différents.
Généralement, les comptes e-mail gérés par Postfix sont saisis dans des fichiers texte destinés à être traités par la commande postmap qui insère ces données dans une table au format de base de données Berkeley (Berkeley DB) pour des raisons de performances des interrogations.
Mais lorsque le nombre de serveurs virtuels augmente, cette méthode de gestion peut s’avérer rapidement fastidieuse.
Partant de ce constat, les développeurs de postfix ont ajouté le support de nouveaux mécanismes de gestion des configurations, notamment le support des annuaires centralisés  LDAP ou encore l’accès aux bases de données les plus populaires dans le monde Linux que sont MySQL et PostgreSQL.
Et c’est à cette dernière que je vais m’intéresser plus avant…

posté le 12. novembre 2011 à 7:38 am par info · Permalink
Catégories : Administration système · Mots-clés: , , ,

Une réponse

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  1. […] un précédent article (Variations autour de Postfix (part.1 ) : serveurs virtuels et bases de données), je présentais une méthode de gestion de domaines et utilisateurs virtuels stockés dans une […]

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